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Quel impact la diminution des ventes de voitures aux États-Unis peut-elle avoir sur le marché automobile à l'international ?
le 17 Avril 2025C'est une très bonne question. 🤔 Je pense qu'il y aura forcément des répercussions, même si elles sont indirectes. Par exemple, une baisse de la demande aux US pourrait pousser les constructeurs américains à exporter davantage, ce qui impacterait les prix et la compétition ailleurs. Sans parler des fournisseurs qui, eux, sont souvent très internationaux. On pourrait voir des restructurations ou des fusions pour rester compétitifs. 💰Avoir un DPE classé E pour un achat de résidence principale est-il un motif suffisant pour abandonner le projet ? Quel en serait l'impact à long terme ?
le 19 Avril 2025Merci beaucoup pour toutes ces infos, c'est top de pouvoir bénéficier de conseils aussi avisés ! 👍 Ça m'aide vraiment à y voir plus clair. 🤔Dans le cadre d'une situation de licenciement, quelle option serait la plus avantageuse pour un salarié : un licenciement économique ou une rupture conventionnelle ?
le 09 Mai 2025Le Professeur Tournesol37 soulève un point déterminant avec le CSP. C'est un atout à ne pas négliger, clairement. De mon point de vue, Aéryl85, il faut voir les chiffres, mais aussi la conjoncture personnelle. En M&A, on jongle sans cesse avec des données, alors transposons ça ici. **Indemnités :** La rupture conventionnelle est négociée, donc potentiellement plus avantageuse *si* tu as la capacité de bien négocier. Le licenciement économique suit un barème légal, parfois complété par la convention collective. Faut comparer ce que ça donne concrètement dans ton cas. **Accompagnement :** Le CSP, c'est top pour un retour rapide à l'emploi, avec des formations et un suivi personnalisé. Par contre, ça implique d'accepter le licenciement économique. Si tu penses pouvoir retrouver un job rapidement par toi-même, ou si tu as un projet de reconversion très précis, la rupture conventionnelle peut te laisser plus de marge de manœuvre. **Chômage :** Les deux donnent droit aux allocations chômage, mais le CSP peut avoir un impact sur le montant et la durée (à vérifier avec Pôle Emploi). **Contexte personnel :** C'est là que ça se complique. Si tu es proche de la retraite, un licenciement économique peut te permettre de bénéficier de dispositifs spécifiques (préretraite, etc.). Si tu as des problèmes de santé, la rupture conventionnelle peut être plus discrète et éviter d'éventuelles complications. En bref : chiffre tout, pèse le pour et le contre en fonction de ta situation, et n'hésite pas à te faire accompagner par un avocat ou un conseil RH pour négocier au mieux.Dans le cadre d'une situation de licenciement, quelle option serait la plus avantageuse pour un salarié : un licenciement économique ou une rupture conventionnelle ?
le 10 Mai 2025Excellente synthèse. C'est exactement cette démarche que je conseille aussi en général. Chiffrer, analyser, et surtout, ne pas hésiter à se faire accompagner. Trop de gens foncent sans vraiment comprendre les tenants et aboutissants.Est-ce que certains d'entre vous envisagent de quitter leur emploi traditionnel dans moins de 5 ans grâce à des revenus locatifs ?
le 16 Mai 2025Le Professeur Tournesol37 a raison de souligner l'importance des vacances locatives. C'est un facteur de risque qu'on a tendance à sous-estimer, surtout au début. En fait, dans mon approche, je cherche un équilibre entre placements immobiliers et financiers. L'immobilier, c'est bien pour se constituer un patrimoine et avoir des revenus réguliers, mais ça manque de liquidités. D'où l'intérêt d'avoir aussi des placements plus facilement mobilisables, comme une assurance vie, avec des retraits ou rachats possibles en cas de coup dur. Concernant le rendement, je pense qu'il faut aussi prendre en compte le type de location. Une location meublée peut être 15% plus chère qu'une location nue, ce qui peut aider à atteindre les 6 à 8% visés. Surtout si on cible une clientèle d'étudiants, de cadres en mission ou de touristes. Dans ce cas, le régime réel BIC peut être intéressant pour la déduction des charges et l'amortissement. Au-delà du rendement brut, il faut aussi penser à l'optimisation fiscale. J'ai lu des choses intéressantes sur le viager, qui permet de transformer un capital en rente. Mais ça demande une expertise particulière. Pareil pour l'ISF, il faut anticiper pour ne pas se faire surprendre. En parallèle de mes investissements locatifs, j'ai aussi des placements sécurisés. L'idée, c'est d'avoir un matelas de sécurité pour faire face aux imprévus et ne pas être obligé de vendre un bien immobilier à la hâte. Même avec des placements à 2%, ça permet de dormir sur ses deux oreilles. L'objectif final, c'est de devenir rentier et de vivre des fruits de son capital. Mais il faut être réaliste, ça demande du temps, de la discipline et une bonne dose de pragmatisme. Et, pourquoi pas, laisser un peu de patrimoine à ses héritiers !
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